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mercredi, mars 14, 2018

LONGINES CONQUEST CLASSIQUE MOONPHASE

A cheval sur les principes. Longines enrichit sa collection Conquest Classic d’un nouveau chronographe avec phase de lune. Une montre d’un classicisme élégant, que Longines dédie à l’univers des sports équestres, dans lesquel la marque est impliquée depuis la fin du 19e. En 1878 déjà, un chronographe Longines permettait déjà de départager les gagnants sur les champs de course.

Dédiée aux montres inspirées de l’univers équestres, auquel la marque est fidèle depuis la fin du 19e siècle, la ligne Conquest Classic est sans aucun doute celle des valeurs sûres. Sophistiqué mais sportif, ce nouveau chronographe s’enrichit d’une complication qui apporte une dimension aussi poétique qu’inattendue à son cadran, doté d’un compteur 12 heures situé à 6h, d’un compteur indiquant les 24 heures et la petite seconde à 9h et d’un dernier compteur de 30 mn, au centre duquel se trouvent deux guichets pour l’affichage du jour et du mois, situé à 12h. La date se lit sur l’intérieur du cadran, grâce à une aiguille en demi-lune.

Ce modèle est pourvu d’un boitier de 42 mm et d’un mouvement mécanique à remontage automatique (L678). Elle est proposée en acier, or rose ou acier et or rose, avec des bracelets acier, acier et or rose ou alligator, avec un cadran noir ou argent.

Partenaire fondateur et chronométreur du premier championnat 100% électrique de la FIA, Tag Heuer ne recule devant rien pour faire valoir les prétentions de la Suisse à accueillir un « ePrix ».

A quelques heures de l’ouverture du salon automobile de Genève, la marque horlogère a fait sensation en faisant rouler une Formule E en plein cœur de la ville et sur le Pont du Mont Blanc. La Suisse n’a pas connu accueilli de Grand Prix depuis 1954. Conformément une récente motion du Parlement, seules les courses professionnelles de véhicules électriques seront acceptées, avec pour objectif affiché de développer l’usage de cette technologie en ville. Pour cette première saison qui a débuté en septembre dernier, le championnat de Formule E FIA comptera dix ePrix (Londres, Pékin, Miami…).

La monoplace pilotée Simona de Silverstro sera visible sur le stand de TAG Heuer pendant toute la durée du Salon de l’Auto de Genève.

Rare, la marqueterie de plume semblait jusqu’ici plus adaptée aux montres-bijoux spectaculaires créées pour les femmes. Avec cette Midnight Feathers Automatic, qui sera présentée à Bâle, Harry Winston vole dans les plumes de nos idées reçues. Une autre manière de jouer les chefs à plume.

C’est un métier rare que celui de la plumasserie. Harry Winston, comme d’autres horlogers, avaient déjà mis en scène la grâce des compositions de ce métier d’art avec des réalisations poétiques destinées à des montres féminines. Cette fois, c’est une montre masculine originale qui donne dans les effets – très sobres - de plumes. Entre havane et brun foncé, les rémiges sont disposées verticalement pour composer un cadran dense et vivant à l’affichage minimaliste (heures et minutes), qui évoque les lignes de la fibre de bois. Un tableau composé à la main (toutes les montres sont différentes), dont les teintes s’harmonisent avec le boitier et les aiguilles en or rose de 42 mm de la montre.

Les analystes se sont lancés dans la bataille des chiffres, les experts s’affrontent : si personne ne peut en lire l’issue dans les entrailles d’un calibre, une chose est sûre : la guerre de la montre connectée aura bien lieu. Un horloger, Frédérique Constant, passe à l’offensive avec une première montre connectée horlogère, l’Horological Smartwatch.

La vague des objets connectés serait elle sur le point de faire une victime collatérale inattendue ? Certains experts l’affirment. Après le succès des bracelets d’activités, la montre connectée pourrait porter un coup dur à l’industrie horlogère, confrontée à une rivale inattendue et tellement loin de ses codes. Alors qu’Apple s’apprête à lancer son Apple-Watch, Frédérique Constant, une maison genevoise indépendante a décidé de prendre les devants, en annonçant le lancement d’un hybride étonnant, qui marie le meilleur des mondes.

Pour Peter Stas, co-fondateur de Frédérique Constant, c’est le marché des montres à quartz, qui représentent 21 des 26 millions de montres suisses produites chaque année, qui sera le premier affecté par le boom annoncé des montres connectées. C’est donc sur ce segment que l’horloger a naturellement orienté concentré ses recherches. « Par rapport à une montre à mouvement quartz, une montre connectée donne tout de suite des fonctions en plus, explique-t-il. Nous pensons que cela va automatiquement transformer le marché. » le compteur à 6h permet de lire les informations relatives aux objectifs, que l'on retrouvera en détail sur l'application.Credit Photo - DR

Monitorer ses activités et les analyser sur une application smartphone, recevoir ses alertes mails, ses sms sur sa montre : les usages de la montre connectée sont nombreux et séduisants de prime abord. Ce qui l’est moins, c’est l’esthétisme de l’objet, qui tient plus du gadget high tech que du garde-temps suisse. Et à moins d’en porter une à chaque poignet, jusque là il fallait faire un choix, car quand le jazz est là, la java s’en va. Avec l’Horogical Smartwatch, Frédérique Constant nous propose de concilier les deux. « C’est la finition de tous les détails qui créé quelque chose de très beau, insiste Peter Stas. Maintenant, cette technologie va ajouter quelque chose à cela. Ce n’est pas une smartwatch avec un écran de toutes les couleurs. Cela reste une montre, mais avec quelque chose en plus. »

Ca ressemble à une vraie montre suisse ? Ç’en est une. La manufacture a capitalisé sur son savoir-faire pour créer un bel objet qui affiche tous les codes de l’horlogerie, et cache dans son boitier un cœur développé en partenariat avec Fullpower, dont la technologie MotionX équipe déjà de nombreux de traqueurs d’activité. Elle offre donc les mêmes fonctionnalités et le même confort d’utilisation que ce à quoi nous sommes déjà habitués. « La montre est tellement bien faite et simple qu’elle est utilisable par tous. Pas besoin d’une notice. C’est quelque chose de très facile à utiliser qui apporte vraiment quelque chose. » Connectée à la demande à un smartphone (IOS ou Android), la montre communique avec l’application qui analyse les données. Activité, coaching adaptatif, sommeil et objectifs… tout est intégré. L’application développée par Fullpower est évolutive et la montre possède une autonomie de deux ans. La montre peut également stocker jusqu’à 30 jours de données si l’on n’est pas en mesure de se synchroniser. Grâce au stockage dans le cloud, les données du compte pourront être restaurées en cas de besoin. Détail qui devrait plaire aux voyageurs, moins poétique mais tout aussi efficace que le GMT, la montre se met à l’heure locale dès que le téléphone capte le réseau du pays où l’on atterrit.

Avec ce lancement, Frédérique Constant fait coup double et prend une longueur d’avance : premier horloger à dégainer, il propose également sa plateforme sous licence à d’autres marques. Le système permet d’associer plusieurs montres de marques différentes à un même compte… mais l’affichage de l’appli restera brandé Frédérique Constant. Dans le même élan, la marque lance une version femme très réussie chez Alpina (les femmes représentent actuellement 70% des utilisateurs d’applications de suivi d’activité, d’après une récente étude américaine). Elle présentera quatres autres modèles masculins au prochain salon de Bâle.

Avec un prix d’entrée inférieur à 1000 euros, cette Horological Smartwatch reste plus chère que les montres connectées traditionnelles et ne permet pas de lire ses sms ou ses mails. Mais gageons que les acteurs de cette dernière catégorie tendront à tirer le marché vers le haut avec des déclinaisons mode et des finitions plus luxueuses. Avec cette montre suisse, développée et assemblée en suisse, Frédérique Constant pourrait bien avoir pris le virage à temps, offrant une nouvelle alternative au marché. « A mon avis, cela va pousser le marché », conclut Peter Stas en réponse à ceux qui prédisent la fin de l’horlogerie traditionnelle. A quand la montre mécanique connectée ?

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Posted by IWC montre at 2:25 PM
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