« BR 03 TYPE MILITAIRE: EN MODE CAMOUFLAGE | Main | LONGINES CONQUEST CLASSIQUE MOONPHASE »
mercredi, mars 14, 2018
BREITLING TRANSOCEAN CHRONOGRAPHE 1915
Si ce nouveau modèle en édition limitée de la collection Transocean porte dans son nom la référence « 1915 » c’est qu’il y a un siècle tout juste, Breitling lançait une innovation qui allait modifier pour longtemps l’allure du chronographe : le bouton poussoir indépendant.
Doté d’un nouveau mouvement, cette montre réinterprète cette nouveauté ergonomique brevetée par Breitling. Placé à 2h, ce bouton-poussoir de forme allongée est destiné à simplifier l’utilisation des fonctions de déclenchement, d’arrêt et de remise à zéro de la fonction chronographe. Une innovation devenue indispensable, alors que la montre-bracelet rendait malaisée la manipulation de cette commande, située jusque là dans la couronne. En 1923, la marque affinera encore cette nouveauté, en dédiant ce poussoir à la mise en marche et à l’arrêt du chronographe. La remise à zéro s’effectuant par la couronne, il devient possible d’additionner plusieurs temps successifs sans remettre les aiguilles à zéro.
Dérivée du modèle d’origine, cette montre d'allure résolument vintage avec ses grands chiffres romains et son cadran argent, revisite la forme du poussoir, qui s’intègre mieux encore au boitier. A noter que celui-ci cumule, comme en 1915, les trois fonctions de commande du chronographe, ce qui a nécessité la mise au point d’un nouveau mouvement, le B14.
Présentée avec trois types de bracelets (cuir, crocodile, métal ou acier tressé), cette Transocean Chronograph 1915 est éditée, comme il se doit, à 1915 exemplaires.
Le Swatch Group présente à Bâle un nouveau garde-temps d’une marque au rapport qualité-prix agressif pour laquelle le groupe cultive de nouvelles ambitions sur le marché français. Avec un design sobre, inspiré des grandes réalisations architecturales mondiales, Mido joue la carte de l’authenticité et de la fonctionnalité. Une pièce classique et intemporelle.
La gamme Multifort a vu le jour en 1934, deux ans après l’édification du pont du Port de Sydney dont elle s’inspire. Cette référence architecturale constitue la signature de cette marque lancée en 1918, qui privilégie la sobriété des lignes… et des prix, sans faire de concession sur la qualité. Constituée exclusivement de modèles automatiques, la collection embarque des mouvements ETA, développés selon le cahier des charges exigeant de la marque. Le nouveau mouvement de cette Caliber 80 Chronometer ne fait pas exception à la règle. Si esthétiquement cette montre fait référence au modèle historique de 1940, son mouvement offre une réserve de marche de 80 heures. On pourra d’ailleurs l’observer à travers le fond en verre saphir du boîtier.
Avec un boitier de 42 mm en acier traité PVD rose assorti aux index triangulaires, un cadran argenté enrichi de Côtes de Genève verticales (qui rappellent les suspentes du pont) sur lequel s’ouvre le guichet de date à 3h, c’est une montre fonctionnel d’une belle sobriété. Très présente sur le marché asiatique, la marque (basée au Locle) ambitionne désormais de se positionner sur le marché européen. Gageons qu’avec de tels atouts et un positionnement très compétitif (les prix moyens s’inscrivent dans une fourchette de 750 à 800 euros), elle dispose de solides arguments.
On savait la passion de Bell & Ross pour l’aviation et la moto. Depuis 2007, l’horloger est associé au Festival Automobile International. Un événement d’envergure, qui fêtait cette année sa trentième édition, à l’Hôtel National des Invalides. Un cadre prestigieux après Chamonix, la Place Vendôme et le Grand Palais, pour célébrer les belles mécaniques et le design, cher à la marque qui a conquis l’armée depuis sa création. Une belle occasion de faire le point sur les accointances entre design, horlogerie et mécanique, alors que le modèle emblématique de Bell&Ross fête ses dix ans.
Si le public élit la plus belle auto de l’année à l’occasion de ce rendez-vous, ce sont les concept-cars qui sont à l’honneur. Une véritable « fashion week de l’auto », pour laquelle l’horloger a édité une série limitée de son modèle le plus emblématique, la BR-01. « Bell & Ross s’intéresse aux sports mécaniques en général. On connaît notre attachement à l’aviation, mais l’année dernière nous avions révélé la B-Rocket, une moto-avion. Nous avons également présenté des instruments pour des concept-cars » précise Carlos Rosillo, CEO de Bell&Ross.
Designer de formation, fonctionnaliste par conviction et passionné de belles mécaniques Bruno Belamich, co-fondateur de la marque, a conçu ce modèle pour les professionnels. Lisible, étanche, précise et fonctionnelle, pour cette montre inspirée de l’instrumentation aéronautique, la fonction fait la forme. Original et juste, ce modèle a imposé depuis 10 ans de nouvelles références dans l’horlogerie. « Cette montre est un résumé de ce qu’est Bell & Ross confirme Carlos Rosillo. L’âme de l’avion est le tableau de bord. Nous en avons capté l’un des éléments clé et transposé l’horloge de bord sur le poignet pour faire ce modèle iconique. Ce design particulier a plu. Quand on a la chance d’avoir un modèle qui symbolise notre histoire et qui a du succès commercial, ça s’entretient. »
voir plus replique de rolex et Replique Rolex DateJust